Cet assemblage d’œuvre traite la thématique « La résilience des territoires et les transitions indissociables : Urbaines, Energétiques et Numériques » par la dystopie.
La première peinture évoque une nature dans laquelle l’homme se fond presque, un état initial, voire désirable.
La seconde présente une sorte de synergie entre l’urbanisme se fondant naturellement dans son environnement.
La troisième évoque la construction, l’artificialisation avec une disparition de la place de la nature.
La quatrième est dans la continuité, le développement urbain et scientifique envahissant les derniers milieux naturels (ciel et mer).
Enfin, les deux dernières évoquent la fusion entre la technologie et l’homme, le transhumanisme avec le bleu pour la machine, le rouge pour l’homme.